Les mines de Baburet aux Eschartès en Vallée d’Ossau (Départ de Ferrières)

Cette boucle propose de faire un voyage dans le temps, celui où les mines de fer étaient exploitées sur le territoire des Eschartès, quartier de la commune de Louvie-Soubiron situé à 6h de marche du village !Un itinéraire jalonné d’informations passionnantes sur l’histoire de cette exploitation, arrêtée en 1962. Départ : Les mines de Baburet (au quartier des « Eschartès ») se trouvent dans le village de Ferrières (entre Arthez d’Asson et le col du Soulor). Franchir le pont en face de l’église de Ferrières. Rive gauche du gave l’Ouzom, vous êtes déjà sur le territoire des Eschartès, commune de Louvie-Soubiron.

Prendre à gauche la route qui monte jusqu’au cimetière des Eschartès puis au lieu-dit « Panorama du chêne ». Profiter du point de vue. 0h15 S’engager sur le chemin à gauche puis, à l’épingle suivante, prendre le chemin de droite qui grimpe jusqu’à un nouveau panneau du patrimoine consacré aux mineurs. À l’ensemble directionnel tout proche, monter côté gauche le chemin herbeux qui mène jusqu’à la « Galerie royale 685 ». 0h35 Redescendre par le même chemin puis reprendre le sentier main gauche. Passé une grange, faites un petit détour par la deuxième galerie dite « la poudrière ». Reprendre le sentier sur une centaine de mètres.

0h50 À l’ensemble directionnel, descendre à droite, en aller-retour, un sentier assez raide qui mène jusqu’à la Galerie 620. Une fois remonté, reprendre le sentier à droite. Il descend progressivement jusqu’à une petite route. 1h15 Tourner à droite et descendre la route qui ramène au village. Faire une halte à la dernière Galerie (556) avant de rejoindre le point de départ. Le circuit est jalonné de panneaux consacrés aux mines de fer et les thématiques qui leur sont associées : les mineurs, les forêts, les galeries (fermées au public mais dont on peut découvrir l’entrée), leurs usages anciens et leur habitat actuel (elles abritent des colonies de chauves-souris) ou encore la voie de chemin de fer qui permettait d’acheminer le minerai jusqu’à la gare de Coarraze-Nay.